Les Dirty Harrycots Magiques
Pourquoi les Harrycots Magik, d’abord ? Bon bougez pas, je secoue le cinéphage pour lui décoller la pulpe du fond et je reviens avec l’explication ...
… Ah oui voilà : on s’est retrouvés avec deux Jack (Griffin et Sullivan), donc il fallait bien qu’il y ait un haricot magique pour nous aider à crapahuter vers les hauteurs du classement, voyez ? (NDLR : cinéphage, tu me paieras le four que je me tape à raconter la genèse de ton idée fumeuse…) Et puis Dirty parce que Dirty Harry, si vous voulez un dessin regardez notre fabuleux logo, on a passé des cervelets de publicitaires au presse-agrumes pour obtenir ça, alors flûte, on rentabilise.
Après enquête, il s’avère que nous disposons bien du légume ascensionnel, éventuellement nous nous enorgueillissons aussi de deux aspirants-ogres totalement crédibles, les deux Gus, euh Jack, pas de souçaï, par contre il faut être lucides, notre royaume céleste ne s’accrochera qu’aux cimes du bêtisier, la faute à des organisateurs à la perversité chatoyant de toutes les nuances allant du platement cruel au superlativement pas gentil, et en plus ils sont nombreux les bougres et les bougresses ...
Or donc, nous sommes :
Jack Griffin, a.k.a. « Le démon s’éveille la nuit (s’il est motivé) »
Esthète raffiné et quelque peu raréfié cette session, Jack G. est connu pour son désenchantement élégant et teinté d’humour noir, le tout étant concentré dans l’usage consommé qu’il fait du smiley-à-la-moue-dégoûtée, oui voilà, celui-là. Un vrai haïku du Net, d’ailleurs il nous le casse parfois, l’haïku.
Fatalitas, a.k.a. « Ceux qui m’aiment attendront le train », also also k.a. « L’erreur de la bête est humaine »
(DING DONG) « Le petit Fata, aperçu pour la dernière fois devant le jeu des captures de Classik, est attendu sur le jeu frcd pour faire le dernier envoi de réponses car il est 21h58 ce mercredi et nous pourrions encore encaisser deux-trois points, je dis ça comme ça… » (DING DONG). Y’en a qui se sont retrouvés privés de Danette pour moins que ça, mais on se dit que ça finira par lui passer, c’est juste une crise d’ado en retard (elle a pris le train d’après, mais y’avait grève).
cinéphage, a.k.a. « 71 fragments d’une mémoire de hasard »
Hormis un maniement virtuose de la brochette et de la bonhomie post-prandiale, notre jovial ami apporte également à l’équipe une culture cinématographique des plus originales. Pensez donc, voilà l’homme qui dénichera les films que les plus grands réalisateurs ne savent même pas avoir tourné, quand bien même les organisateurs fêlons le nieront farouchement ! (Et j’en profite pour dire que ce n’est pas parce qu’ils maquillent les titres, l’année de sortie et le format vidéo qu’ils nous abusent un instant ! La vérité doit être connue de tous !)
Colqhoun, a.k.a. « Pique-nique à Hanging Rock : ne pas oublier la mayonnaise »
Specimen excessivement rare de cannibale helvète, ce dont nous nous félicitons chaque jour, dont la férocité s’exerce principalement à pester sur des captures qu’il croit reconnaître mais dont il ne retrouve le titre qu’au second indice, ce dont nous nous félicitons nettement moins. Mais on l’aime, il faut bien, c’est tout de même lui qui nettoie lorsque la mise en ligne hebdomadaire des réponses nous pousse à la flagellation collective.
Strum, a.k.a. « Ali»
Tout est dans le titre : c’est le plus beau, le plus fort, et surtout, après avoir boxé contre lui on ne palpiterait même plus du sourcil devant une harde de sangliers en furie. Pour le jeu de jambes, je ne me prononcerai pas avant qu’il ait fait ses preuves sur les organisateurs d’obédience féminine ...
Alligator, a.k.a. « Lost in La Semana »
Excessivement sensible au manque de sommeil, aux changements de pression atmosphérique, à une hygrométrie de l’air trop basse, à une nourriture trop pauvre en Oméga 3 mais surtout à la perspective de devoir mouliner sur les dernières questions le mardi soir, notre crocodilien favori est fragile. Ce qui explique de longues crises délirantes durant lesquelles il semble incapable de donner une réponse à une question qui existe réellement (par contre, pour les questions potentielles flottant dans l’éther des dimensions parallèles à la nôtre, on est béton).
Ouf, je respire, a.k.a. « La comtesse aux pieds nus »
Tel Ava Gardner dans ce film, on parle de lui davantage qu’on ne le voit, et pourtant son empreinte gracieuse est à jamais sur cette équipe, il est notre dénominateur commun, notre part de fantasmes aussi. Bon, le mythe en a pris un vieux coup depuis qu’il a trouvé une réponse, mais il demeure culte à jamais.
L’indicateur Mystère, a.k.a. « Monsieur Verdoux »
Qui soupçonnerait ce notable bien connu du frcd de perpétrer le sombre forfait de la transmission de réponses sous le manteau ? Manteau qu’il ne rechigne d’ailleurs pas à ouvrir dans d’autres circonstances, mais chut ...
Jack Sullivan, a.k.a. « Parle avec elle (si t’arrives à en placer une) »
Jusqu’au-boutiste exécrable, entité poilue et omniprésente, un peu comme Shiva qui aurait oublié de raser ses 8 aisselles, mais en nettement moins souriante. En tant que presque-vieille-ancienne du jeu (6 ans d’activité tectonique, ta mère !), a tendance à la ramener un peu beaucoup façon c’était-mieux-de-mon-temps, mais on a trouvé la parade infaillible en lui fournissant régulièrement des photos de rugbymen mal dissimulés derrière leur ballon. Bientôt la Coupe du Monde, courage les gars !
Dans le zoo depuis le 12/02/2007
Les Glanches
Rockatansky :
Mad Max est le leader incontesté (en même temps, c’est le seul vraiment concerné) de cette combinaison hasardeuse et contre-nature du gland et de la tanche. A lui seul, il incarne la majesté incertaine de cette association, par son âpreté comme par son odeur. Elément moteur comme il en faudrait plus (mais pas trop quand même), il sait aussi bien remotiver les troupes par des diatribes enflammées ou des insultes traumatisantes, que montrer l’exemple en débitant par cœur la filmographie entière (y compris les uncredited) de celui qui jouait l’oncle du chauffeur de taxi bègue du troisième épisode de la deuxième saison de Chips. Une référence pour nous tous, une légende, une icône, un pilier (un peu comme Harry, mais pas tout à fait), en un mot : LA glanche !
Nada :
Expert tendance psychopathe de l’occurrence gogole (celle qui marche !!!), ce bras droit d’honneur du Boss est son idéal complément, son excroissance fusionnelle (oui, enfin bon, vous voyez l’idée), qui permet à cette équipe de tourner, et tant pis si ce n’est pas rond. Son mode de fonctionnement nocturne est encore pour beaucoup un mystère, toujours est-il que cet art de la spéléologie virtuelle débouche régulièrement sur l’extraction d’on-ne-sait-où (non, non, pas là) des plus obscurs spécimens frcdiens, poignées de porte et ongles sales non compris. Il rivaliserait presque de talent avec le Chef, c’est dire (ça, entendons-nous bien, c’est de la lèche gratuite).
L’étranger... :
Une vieille croyance azteco-biélo-sanskrit prétend que chaque être humain est le meilleur dans un domaine bien précis, et que le but de l’existence de tout un chacun est de trouver son domaine. Le sens de la vie de L’étranger n’est pour personne un mystère : il est – de loin – le meilleur dans le registre du snuff porno gay gang-war underground et ce avec ou sans Jean-Claude Van Damme !!! Tout le monde en est convaincu : un jour, cela servira. D’ici là, ben... vous connaissez L’étranger, quoi...
Roy Neary :
Après la disparition subite des Classik Feet Under, la seule équipe qui aurait pu empêcher cette session (ça fait d’autant plus regretter, hein ?), plusieurs membres éminents ont tenté l’aventure glanchesque. En premier lieu, celui qu’on ne présente plus, tant l’extravagance de sa pilosité n’a d’égal que son érudition, entre autres spielbergienne. Surprenant compromis entre le « putain, je connais mais je retrouve pas » et le « j’ai trouvé alors que j’ai dit il y a deux heures que je connaissais pas », Roy fait partie de ces talents imprévisibles, diamants à l’état brut, comme il n’en existe qu’une poignée par siècle : le basket aura eu Michael Jordan, le golf Tiger Woods, le football Francis Llacer... le frcd aura eu Roy Neary !
Margo :
Deuxième recrue des Classik Feet Under, et non moindre, brave Margo n’aura point eu besoin d’exhiber son sein blanc pour que les glanches viennent y téter tout de go : sa présence, d’ors et déjà indispensable, s’est imposée avec une évidente discrétion, en dénichant des films que tout le monde voulait oublier (déjà appelé le « syndrome Mermaids »). En plus, sa virtuosité technique nous a permis d’avoir notre forum à nous et si ça c’est pas la classe et ça mérite pas quelques points en plus (on vous dira plus précisément combien à la fin de la session) !!! Qu’on se le dise : c’est un élément clé, Margo (et celui qui comprendra ce jeu de mot d'une ahurissante pauvreté méritera la honte éternelle) !
ed :
ed, c’est un peu l’éjaculateur précoce de l’équipe (son rang sur Classik en témoigne) : le mercredi à 22h05, quand il a trouvé le (ou parfois les – si si c’est arrivé) film(s) de la semaine qu’il connaît, il remballe le matos et laisse les autres agir, jusqu’au mercredi suivant. Parfois, il ressurgit, tel le lemming des toundras aux abois (la fertilité en moins), pour faire part d’intuitions la plupart du temps (toujours ? attendez, je vérifie… oui, toujours, vous avez raison) complètement à côté de la plaque (on parle déjà de la jurisprudence Walk the line). Il retourne donc, la queue basse, au fond de son terrier, attendant de trouver un semblable pour tromper sa solitude et pouvoir enfin accomplir son légendaire suicide collectif.
Harry Hausen :
Ce joueur hors-normes pâtit parfois d’une réputation douteuse – un de plus – de pochetron, d’incompétent (et oui, aussi en plusieurs mots), souffrant d’achat compulsif et d’ivresse caractérisée. Il faut ici rétablir la vérité : tout cela n’est pas faux, loin de là. Episodiquement, et dès lors qu’une trace de sang ressurgit dans ses veines au milieu de l’alcool, Harry émerge de ce coma éthylique devenu son état permanent, pour exhorter les troupes d’un râle guttural, entre la harangue farouche et l’odeur du hareng pas frais, évoquant aux spécialistes émus les plus grandes heures de la légendaire fête de la bière de Neuburg-Schrobenhausen la bien nommée.
Et aux brasse-purin qui prétendent que les Glanches sont en fait trente de plus, nous les informons qu’ils feraient mieux de fermer leurs clape-merde avant que L’étranger ne leur concocte un virus de sa confection, du genre de ceux qui vous transforment un Firefox en IE !!!
Tout juste pouvons-nous révéler ici même un scoop : notre botte secrète (pour l'instant inutilisée), c’est Boubakar !!!!
Dans le zoo depuis le 14/02/2007
Cuisine et Dépendances
Vous êtes, paraît-il, demeurés (non congénitaux espérons-le) un tantinet abasourdis de constater qu'à l'heure des surgelés, plats préparés, micro-onde, fast food et Cie, notre groupe Cuisine et Dépendances s'obstine à mitonner et parler bonne bouffe toute la sainte journée y compris les jours fériés. Mais c'est-y qu'on ne se contenterait pas d'être Idiots, on a besoin aussi d'être curieux ?
Avez-vous vu le chapeau de Zozo lalala... heu.. pardon, je m'égare, avez-vous vu, disais-je avant de m'interrompre, en couverture dans «le poids des mots et le choc des photos», la sublime poupée Barbie qui lorsque l'on appuie sur le bon bouton nous gazouille tout le répertoire de Dario Moreno? Et bien c'est de la roupie de sansonnet à côté de nous.
Mis à part les trois superbes jeunes hommes JP, Philou et Guy échappés des «two be free» et deux papys égarés parmi nous dont la culture cinématographique s'arrête aux «Dix commandements» et au «Pont de la Rivière Kwai», nous ne sommes que des jeunes femmes. Bon d'accord, nous avouons que certaines sentent un peu la «Naphtaline n°5» version modernisée revue et corrigée, mais nous sont néanmoins fort précieuses pour trouver les films en noir et blanc ou les films muets. (Ah ,je savais que j'étais utile !)
Mais ce qui nous caractérise, nous valorise, nous différencie, c'est la variété des neurones qui peuplent notre boîte à pensées. Montaigne a dit qu'il vaut mieux une tête bien faite qu'une tête bien pleine et ben nous hé hé, nous avons les deux. Étonnant non ?
Toutefois, ce qui fait notre spécificité, ce qui fait que nous méritons à chaque repas un César ou un Oscar (soyons ambitieux), c'est notre talent naturel en matière culinaire.
De vrais artistes devant notre piano ! Imbattables sur la confection d'une tarte aux pommes, d'une soupe à l'ail, d'une brioche au beurre, d'un chapelet de saucisses à griller convoitées par le toutou de mémère sortant tout pomponné et parfumé du «Au chien chic». Inégalables nous sommes sur la maîtrise de la cuisson des meringues au chocolat, la préparation d'un pâté en croûte farci au fois gras, d'une daube provençale. Incollables, tel le riz cantonnais, sur les plats belges, chinois, indiens et j'en passe, car à moins de nouer autour de votre cou viril de pilier de rugby écarté du calendrier pour cause d'embonpoint naissant votre bavoir taché, religieusement conservé dans son emballage d'origine par votre maman depuis l'apparition de votre première quenotte, vous risquez de baver sur votre clavier, ou de dépit, de faire l'impasse sur la fête des amoureux ou d'offrir le seul bouquet de fleurs flétries en solde chez la fleuriste du coin...
Vous pourriez même regretter amèrement d'avoir demandé la main de votre bien-aimée, alors que vous étiez tous les deux, durant un radieux week-end chez papy mamy, à batifoler dans le pré du voisin à l'abri derrière une moissonneuse-batteuse ou à folâtrer dans le grenier sur des bottes de foin ou à regarder, l'oeil fripon, la feuille à l'envers sous le buisson de charmilles, négligeant la présence d'une fourmilière, confondant ainsi les cris aigus de votre dulcinée avec des cris de plaisir. Dulcinée qui rate même votre sandwich jambon-bière lors de vos soirées football et qui, l'angoisse dans les yeux, craignant pour son avenir, doutant de votre état mental, vous observe à hurler comme un dément seul devant la télévision, pour enfin sauter de joie à pieds joints sur le canapé tout neuf quand le buteur de l'équipe, que vous sifflez à pleins poumons, vient de rater un penalty après avoir marché bêtement sur son lacet défait.
Que nous soyons au travail ou pas ou plus, que nous résidions en France en Belgique au Japon, ou au Québec, c'est la passion de la cuisine qui nous a réunis, grâce à Internet. Certains se sont rencontrés suite à des AAB (Appel à la bouffe chez l'un ou l'autre) où mets et boissons de toutes les régions mettent en émoi les papilles et font briller les yeux de gourmandise de tous les participants.
Et là le mot convivialité alors prend tous son sens.
Jeunes et moins jeunes, femmes et hommes , nous avons tous été piqués dès notre plus jeune âge par une aiguille à entrelarder, sniffé des herbes de Provence, pris le bouillon ou reçu pour Noël la panoplie complète du parfait(e) cuisinier(e) qui au fil des années a perdu quelques accessoires pour ne garder que le tablier, si vous voyez ce que je veux dire.
Dame ! Faire un cassoulet ou un gigot de sept heures dans l'étroite cuisine au 5e étage d'un immeuble au coeur d'une ville en plein été nécessite d'avoir les abattis à l'air, voire plus si affinités.
Nous savons pertinemment qu'il y a une vie après la cuisine, raison pour laquelle nous prenons un réel plaisir à participer à ce jeu. Ah ! les joies de la recherche quoique nous transpirons au propre comme au figuré (faut bien surveiller le ragoût de mouton qui mijote au coin du feu).
Mais, si vous continuez à nous proposer des films qui nous prennent la tête, à nous faire veiller jusqu'à des heures indues, à nous faire marcher par mégarde sur la queue du chat tout en feuilletant le dictionnaire des réalisateurs, nous faire oublier de sortir Bill, de donner le goûter au petit dernier, de mettre le réveil à l'heure le lundi matin etc etc nous ne répondons plus de rien, et nous serions capables alors de servir de la morue aux fraises, des sardines à la chantilly, des huîtres à la marmelade de brimbelles, une choucroute à la mayonnaise....Misère notre réputation !
Allez un effort jeunes hommes (et jeunes femmes). Contre une gaufrette un indice, d'accord ?
Ah vous préférez les macarons? Deux indices dans ce cas.
Et pour mieux nous cibler, si nous étions un plat nous serions ...
Angèle :
Alors pour moi ce sera en ce moment : Un café bien serré car je bosse sur tempo "expresso" et qu'avec ce rythme je fini "moulue" ....
Dan :
Et moi une soupe à l'ail : simple et sans prétention, mais on s'en rappelle longtemps.
Elisabeth :
La poule au riz. Un peu pâle, mais goûteux et complet.
Fleur :
Une bavette aux échalotes car je ne refuse jamais de tailler une bavette.
François :
Le Garam Masala :Connu de tous mais mystérieux et secretChaud et brûlant, mais délicat et suaveIl faut le connaître pour l'appréhender
Guy de Re :
Si j'étais une recette je serais...probablement un cassoulet car mes origines sont françaises mais je suis Québécois et qui dit Québécois dit "grosse bouffe pour se garder bien au chaud!" et en plus c'est un mélange de plusieurs ingrédients qui en fait quelque chose d'unique..))
Jeannine :
la tarte aux pommes: ce n'est pas que je sois "tarte", mais il paraît que je suis plutôt bonne pâte ...:-)
JPP :
Si j'étais une recette, je serai la brioche; facile à l'arrivée, mais difficile à cerner:)
Jude :
Si j'etais une recette, je serais un couscous.. le mélange des épices, des saveurs, des couleurs, des cultures... et puis chaque jour ni tout a fait une autre, ni tout a fait la même...
Kuri :
Si j etais une recette ? Mais je le suis ! Kuri, la vraie, la seule c'est moi... Keema ? Oui, moi, je suis la vedette des trois couleurs Kuri thaïs. Rouge baiser, vert lagon et jaune coc...soleil, voila coccinelle, cet amourde.Oui, je suis specialiste en navets réchauffés, alors SVP, les tandoori-diots, mettez-en au menu. Chutney de mangue que ça.Epices and Love. Chai..o !
Marthe :
Si j'étais un plat je serai un far (west)!
Queseraisje :
Un boeuf bourguignon, certains membres de l'équipe ne seront pas étonnés, ça passe super bien au goûter...(NB Sam : je confirme! le meilleur des 4 heure!)
Roger :
Si j'étais une recette, je serais des mézzés....c'est a dire plein de choses salées ou sucrées....dures ou tendres....ça reproduit certainement mon caractère....instabilité....collant...essayant de toujours plaire...aimant ceux qui n'ont pas peur de se sucrer les doigts par amour pour moi...j'adore l'idée d'entre sur les lèvres des dames....et de leur laisser le goût de ce que je suis un bon moment....et d'assouvir le plaisir oriental jusqu' a l'extase.....et plus, si affinités....parce que les mézzés demandent beaucoup de temps pour la dégustation.....
Sam :
Le riz cantonnais, une recette inventée au Viet-Nam par des colons français, et qui à mieux y regarder n'est jamais qu'une des multiples façons d'accommoder les fonds de placards ;-)
Sophie :
Un gateau au chocolat, parce que je suis gourmande et qu'il ne faut pas passer à côté de tous les petits plaisirs de la vie!
Cuisine et Dépendances pour vous servir
FAQ : Mais comment font-ils en étant aussi nombreux pour faire aussi peu de points?
R : Parce qu'en fait, les Cuisine et Dépendances c'est une super chouette équipe de... supporters! :-)
Dans le zoo depuis le 23/03/2007
Les Mordus
Chez les Mordus, il y a des Mordus qui aiment le cinéma, et d'autres non. Chez les Mordus, il y a des sales djeunz, et des vieux cons.
Donc chez les Mordus, il y a des sales djeunz qui aiment le cinéma, des sales djeunz qui n'aiment pas le cinéma, des vieux cons qui aiment le cinéma et des vieux cons qui n'aiment pas le cinéma.
Mais chez les Mordus, il y a aussi des Mordus chevelus, et des Mordus pas chevelus.
Donc chez les Mordus, il y a des sales djeunz chevelus qui aiment le cinéma, des sales djeunz chevelus qui n'aiment pas le cinéma, des sales djeunz pas chevelus qui aiment le cinéma, des sales djeunz pas chevelus, qui n'aiment pas le cinéma, mais aussi des vieux cons chevelus qui aiment le cinéma, des vieux cons chevelus qui n'aiment pas le cinéma, des vieux cons pas chevelus, qui aiment le cinéma et des vieux cons pas chevelus, qui n'aiment pas le cinéma.
Mais en gros, ceux qui participent au FRCD, ce sont les Mordus qui sont de sales djeunz chevelus qui aiment (un peu) le cinéma.
Mais j'avais très envie de vous embêter, j'espère que c'est réussi.
Merci à André F. pour l'inspiration.
Tu nous manques.
Bad Taste, Grand manie-tout
Bad Taste, menant d'une main de fer dans un gant en fonte, son équipe de bras cassés analphabètes et incultes, voue un culte démesuré à Bad Taste. Aimant parler de lui à la troisième personne, il s'admire régulièrement dans le miroir disposé prêt de son ordinateur (auquel il est enchainé), pour voir à quel point il est beau et sympathique (comme le miroir, ha ha ha). Il regarde de haut ses congénères, et les observe avec dédain. Habitué à mettre les pieds dans le plat, Bad Taste a marqué de son empreinte indélébile (et débile) la première semaine de la cession FRCD des Idiots. Bon, depuis, il a fait son mea culpa, et s'incline bien bas aux pieds qui sentent la rose, des Idiots, qui le lui ont bien rendu. Par contre, les Weng Weng le détestent toujours. Ca tombe bien, c'est réciproque (1) Adepte de smiley, Bad Taste regrette de ne pouvoir en apposer dans ce texte. Il aurait collé plein de trucs salaces sinon.
Plat préféré : La bière
Localisation : En général, dans un caniveau, ou sur un trottoir en train de roupiller
Couleur de chaussettes préférées : Sans opinion
Appartenance politique : PDB (Parti des Bisounours)
Activité préférée avec les doigts : C'est trop dégueulasse pour que je puisse l'écrire.
Devise : "Je suis bourré !!!"
Mighty-Forest, Sous-fifre gélatineux
Couche-tard à la longue crinière ne jurant que par les séries B et les films de bestioles, grand collectionneur mono maniaque aux yeux mi-clos et au compte en banque dégringolant. Vénère secrètement Cthulhu et Porcinet.
Plat préféré : Pizza et Simili-Kebab galette sans crudités s'ils vous plait !
Localisation : Nord
Couleur de chaussettes préférées : Bleues avec des dessins dessus ... Mais bon, étant un inconditionnel des rangers, elles pourraient être lumineuses marron fluo que ça se verrait même pas.
Appartenance politique : Cthulhu Fhtagn !
Activité préférée avec les doigts : Ouvrir des colis et classer des CD.
Devise : "Boarf ..."
Commentaire de Bad Taste : Je comprends rien à ce qu'il écoute comme zic...
Ash, Valet tronçonneur
Vis un peu pas trop le jour, moyen sans plus la nuit, mais surtout devant son écran (on appelle ça comment déjà? Ah oui, un no-life, gloire à eux!). Aime pas les peignes et les pulls qui grattent, mais a une affection pour Platon, Nietzsche et BHL...nan j'déconne (pour les 3 hélas). Redevenons sérieux (car oui c'était de l'humour, avoue t'as rigolé...même pas? Ta cruauté dépasse les limites). Vis beaucoup dans les rayons dvd de BIP, BIP BIP (chut, chut, pas de marques...) et autres, histoire d'assouvir une soif de films divers et variés, mais quand même souvent avec du sang, des filles à poil et des chauves qui font du kung-fu.
Plat préféré : N'ai pas
Localisation : Un M&M's à celui qui devine (pour la couleur, s'arranger par mail)
Couleur de chaussettes préférées : Bleues avec des dessins dessus ... Mais bon, étant un inconditionnel des rangers, elles pourraient être lumineuses marron fluo que ça se verrait même pas.
Activité préférée avec les doigts : Ouvrir des boitiers dvd, fermer des boitiers dvd, et puis ouvrir des boitiers dvd, et fermer des boitiers dvd. Et puis sinon me les foutre dans le nez (les doigts, pas les dvd).
Devise : "Ils sont tout pourris les films de Michael Bay."
Commentaire de Bad Taste : Il est nul au sujet des captures représentant Eric Tsang. Excellent fournisseur de bêtises.
Et quelques intervenants plus discrets, mais néanmoins indispensables...
Youn, Super-héros collant
Commentaire de Bad Taste : Dingue de Spider-Man, et adorateur de Kuro et Walker Texas Ranger. Élément utile, mais néanmoins absent, et malheureusement trop jeune pour être tout à fait performant au FRCD. (C'est pas vrai, mais l'ironie marche très bien avec ce saligaud que j'aime)
Localisation : Dans la file d'attente pour Spider-man 3
Appartenance politique : Raimi Président (à vie, de préférence)
Devise : "J'aime bien !" ; "J'aime pas !!!"
Mr.Movie, Djeunz excité
Commentaire de Bad Taste : Avec toute la vie devant lui, il a décidé de foncer tête baissée dans sa découverte du cinéma, et en parle toujours avec passion. Et parfois, on se retrouve dépassé par tant de jubilation dans un seul bonhomme. Petite pillules roses, et tout ira mieux.
Plat préféré : Pas les ptits pois en tout cas...
Appartenance politique : Watchmen au pouvoir !
Activité préférée avec les doigts : Écrire des VRAIES critiques de films, et pas des trucs d'une ligne sans intérêt. Merci à lui d'ailleurs.
Devise : "Ça va être génial !"
Atalante, qui a toujours la frite !
Commentaire de Bad Taste : Toujours souriante, toujours pimpante, Atata s'est fait une spécialité de ne proposer que des films pour lesquels elle est certaine que ce n'est pas la bonne réponse. Merci à elle !
Localisation : On stage.
Devise : "Bon, je vous laisse, je vais en cours de moralité."
Faddman, bouffeur d'éclairs au chocolat totalement mégalomane
Commentaire de Bad Taste : Esthète amateur de pâtisseries françaises chocolatées, Faddman est un adorateur des films avec des gros lézards et de certains films cultes tenant le haut du pavé, White Fire, en tête. Homme de gpût, il a ouvert récemment sa propre affaire de cordes pour se pendre régulièrement. S'adresser à Bad Taste pour de plus amples renseignements.
Plat préféré : A votre avis ?
Localisation : Bof
Couleur de chaussettes préférées : Bof
Appartenance politique : Le FDLDEAC (Front de Libération des Éclairs au Chocolat)
Activité préférée avec les doigts : Acheter des Godzi sur le net.
Devise : "J'ai mangé douze éclairs au chocolat à cinq heures ! C'était bon !" "*part se pendre*"
deca, salade qui parle
Commentaire de Bad Taste : No comment (sinon, elle va me taper).
Plat préféré : (je ne le dirai pas, elle le prendrait mal)
Localisation : (je préfère ne rien dire, elle veut rester discrète)
Couleur de chaussettes préférées : (j'en sais rien, mais même si je le savais...)
Appartenance politique : (Aucune idée, elle veut pas me le dire)
Activité préférée avec les doigts : (Rhô !)
Devise : "Bad kilécon." ; "Mark Dacascos il est cro bô !" ; "Bad je vais te tué !" ; "Votez Oda."
emasculator, qui ne fait que passer, et qui est franchement mauvais (héhé)
Commentaire de Bad Taste : Joueur trop discret, nous ayant abandonné en cours de route. Dommage, il avait une solide culture en dvd achetés à Auchan à 1€.
Plat préféré : Les tabourets
Devise : "P'tit con !" (à l'adresse de Bad Taste)
mademoiselle-v, artiste qui chtue
Commentaire de Bad Taste : Un ptit tour et puis s'en va... Da best, sans aucun doute.
Plat préféré : La bière (keupine !!!)
Localisation : "O taf" (lol)
Couleur de chaussettes préférées : La plus belle collection que j'aie jamais vue...
Activité préférée avec les doigts : Jeter des dvd de Mortuary par la fenêtre.
Sans oublier LaLoutre (qui parle avec des mots qu'on comprend pas toujours) et J'aime ta mère (qui aime toutes les mamans du Monde), contributeurs de dernière minute, qui nous ont filé un gentil coup de main. Grand merci à eux !
Et enfin, Shuya, qui n'a rien compris au jeu. Mais il est jeune, on lui pardonne. Je déconne.
(1) Je précise pour ceux du fond, que c'est pour de rire. Je l'aime bien mon chdx. Enfin sauf avec ses manches de caps injouables.
Dans le zoo depuis le 10/04/2007
Team Weng Weng
chdx
"Voyellophobe maladif, comme en témoigne ce pseudonyme hérité d’années passées à fréquenter flippers et autres jeux d’arcade du monde et à comprimer son nom pour l’inscrire au panthéon des (déjà) meilleurs joueurs.
Physionomiste du dimanche, toujours prompt a se fourvoyer dans ses déductions tirées par les cheveux et observations rarement fondées (souvent agrémentées d’un « J’en mettrais ma « insérer ici le nom d’un organe ou d’un membre du corps humain » à couper !).
Fréquemment nommé « Grand Chef » le matin et « Bougre de petit con » le soir, et ce par les mêmes personnes, CHDX est l’incarnation vivante de la célèbre réplique : « Tu n’es pas un bon à rien, juste un mauvais à tout ! ».
Son légendaire manque de diplomatie et de discernement aura valu à la Team, après une euphorique naissance, de se dissoudre dans un putsch, de renaître très allégée, d’accueillir un traître en son sein, d’écoper d’une pénalité et de perdre un membre en route en l’espace de 2 semaines chrono.
Pas dupe pour 1 Euro, il sait néanmoins qu’il ne doit son fragile statut de leader spirituel d’une équipe de bras (virtuels) cassés qu’à l’unique fait qu’il ait été le premier à lancer un « On y va ?».
Beaucoup de cris, de larmes et de sueur plus tard, c’est fier qu’il peut jeter un regard paternel sur ce qu’il reste de son équipe, traînée et poussée jusqu’aux marches d’un podium mérité et de clouer ainsi définitivement le bec aux oiZorgs de malheur qui nous prédisaient mort subite et ridicule.
Petit mais costaud (comme son nom l’indique), Weng Weng will be back !"
Tonton BDM
"Mélange improbable de Big Lebowski à face d'étron et 3ème dan de Karaté Tiger, de Bud Spencer qui refuserait de chausser ses Reebok pour ne pas les user et de Véronique Genest (pour l'amour du jambon et la barbe rousse), Tonton BDM vit à Rijsel et, comme nombre de ringards dans le Zoo avant lui, aime à parler de lui à la troisième personne dans de longues phrases vides de sens, uniquement destinées à désespérément tenter d'arracher un sourire à Jennifer Love Hewitt.
Comme chacun sait, Tonton BDM aime masser les épaules et papouiller les roustons de ses collègues de la Team Weng Weng de façon virile et franche, ce qui lui vaut un statut de quasi-dieu dans l'équipe -ainsi qu'au Japon, mais honnêtement, qui ne le serait pas ?
Dans le civil, il se contente d'être le peu charismatique Gourou d'une secte vouant un culte à la Coco-Dance de Séverine Ferrer (moui, j'estime qu'on a tous droit à notre petite private joke). Plus sérieusement, Tonton BDM est une encyclopédie vivante, il a tout vu, il a des yeux derrière la tête et un sexe énorme. Il ne tient aucun discours intellectuel ou moral sur le cinéma, et aime à clouer -à grands coups de tatane dans les rouleaux- leur bec merdeux à tous ces ringards de moutons de mes couilles qui n'aiment pas Michael Bay, alors que les souvenirs émus du monument Bad Boys II font encore bander les partisans d'un mauvais goût assumé à base d'upskirt de bimbos et d'idéologie crasse, et trembler ses détracteurs, terrés dans les sombres bunkers de l'intellectuellement correct puant du zgeg."
Frank Einstein
"Fruit avarié d'une lamie grabataire et d'un Génie parkinsonien, le petit Frank trouva rapidement une place à part dans le monde de la célébrité universelle des années 30. Doté d'un physique monstrueusement affriolant, il suscita très tôt le désir de quelques-unes des créatures les plus affreusement séduisantes (on se souviendra surtout de sa brève liaison avec la gluante "Alice Sasquatch" qui s'est terminée en grande fanfare durant le tournage de "La furie des Glandeurs" en 1969. Le film d'ailleurs est resté inachevé).
Aujourd'hui, il profite d'une retraire bien méritée, après une longue (trop longue diront certaines langues de vipères...) filmographie composée essentiellement d'apparitions dialoguées par lui-même (souvenons-nous notamment de son fameux "Ghââââ", réplique sur laquelle se clôt sa carrière avec panache, en 1999, dans le non moins fameux "Frankie goes to Horriblewood", seul et unique film qu'il réalisa).
Il va sans dire que sa place dans la Team Weng Weng est indispensable, moins pour sa mémoire vaseuse et ses références d'un autre âge, que pour ses soudaines illuminations quasi-extralucides dues aux quelques neurones qui lui restent."
Hate-Craft
"Hate-Craft est à l'amour ce que la charogne est à la mort.
1974, il est issu de l'union tendre mais sauvage entre le célèbre rital dément, Abdulal Hazredi, et d'une magnifique morte indo-chinoise.
Sauvé de justesse de l'ennui grâce au cinéma en 1981, c'est en 1990 qu'il trouvera enfin la gloire des anciens dieux grâce à sa découverte de la pierre phallusophale permettant de transformer le métal en cuir.
Suite à un pacte avec un ange, atténuant son côté sombre, il coule maintenant des jours heureux auprès de ses amis virtuels..."
bEUD
"Etudiant dans un domaine qui lui permet de tout comprendre aux épisodes de "Docteur House", bEUD ne s'est pas écarté pour autant de sa passion originelle, c'est à dire le cinéma, qu'il aime de la lettre A comme auteur (Carlos Reygadas je t'aime) jusqu'à Z comme ... Z (Frank Henenlotter je t'aime encore plus).
Il est également un militant quotidien de la cause cinématographique et pour le rétablissement du bon goût.
Ses chevaux de bataille actuels sont la réhabilitation de Steven Spielberg et de James Cameron au titre de " Uwe Boll et Michael Bay des années 80" et l'interdiction pour le vil bad guy Brett Rattner de réaliser un remake de son film préféré, "The Boys from Brazil".
Il luttera jusqu'à son dernier souffle pour que la Team Weng Weng irradie de son talent les autres équipes du frcd... Car In Weng Weng We Trust"
Dodesukaden
"S'il n'est pas un tram toqué n'est peut être pas forcément bien cuit pour autant. Japoname comme il y a des opiumanes, il n'est pas cinéphile mais plutôt iconophile, tout autant qu'hydrophobe (pour ne pas dire hydropathe)... Après ce débordement de gros mots, laissons le se reposer, car dormir est en définitive la chose qu'il fait le mieux au monde."
Nadsat
"Si Nad décèle d'un premier coup d'oeil fatigué et à moitié endormi un Maniac Cop sur une sombre capture vue d'un détour du regard ce n'est pas un hasard. Sevré au cinéma de genre dès son plus jeune âge ainsi qu'aux films d'exploitation les plus inconnus au bataillon dont même ses réalisateurs souhaitent oublier l'existence il prit un certain temps à trouver son aise dans le jeu des idiots.
1980. L'année de Maniac, entre autres, et la naissance de Nad, fervent défenseur de ce pan du cinéma dénigré, parfois haït et souvent incompris des navets, des nanars, du ciné bis, des films gore,de ninjas et autres films de drive-in.
Les goûts de Nad s'étendent heureusement à l'ensemble du cinéma (vaut mieux quand même). Avec des références parmis lesquelles on trouve les noms de Kubrick, Malick, Gilliam, Lynch, Scorsese, Jackson, Raimi, Fincher, Scott, Yuzna, Gordon, Romero, Tarantino, Lustig, Ho, Pallardy, etc... (cherchez pas y'a pas d'intrus même si la manière d'apprécier ces cinéastes peut différer de l'un à l'autre).
Ainsi, pour citer un succès récent du cinéma : THIS IS TEAM WENG WENG ! Gaaaaarrrgggl !
P.S. oui, Nad parle de lui à la troisième personne, un peu comme César."
Dans le zoo depuis le 17/04/2007